mardi 24 avril 2012

La réforme du système hospitalier français


Actuellement, ils sont débordés : infirmiers, médecins, aides divers et dans toutes les spécialités. La qualité des soins s'en ressent. Leur qualité de vie aussi, au point d'en voir de plus en plus en arrêt... maladie !

Il existe une solution binaire : augmenter le nombre de soignants ou diminuer le nombre de malades. On le sait depuis longtemps. On ne se fait pas appeler « Patients » pour rien...

Augmenter le nombre de soignants, c'est augmenter le nombre de fonctionnaires. Eh oui, dans le Public, on est gratuits, on est fonctionnaires. Or, un fonctionnaire c'est un budget. Je suis incapable de vous donner un chiffre – ce n'est pas mon métier – mais l'estimation la plus proche est « ouhhhhh-la-la ! ». Le Budget n'aimerait pas.

Diminuer le nombre de malades, cela signifie garder les gens en bonne santé. C'est faire de la prévention. C'est éduquer la population sur l'impact de la diététique, de l'environnement immédiat (entretien de l'habitation, chauffage...) et surtout sur la stupidité de la mode ! Si ma grand-mère voyait toutes ces jeunettes les reins à l'air en plein mois de décembre, ou se promener en T-shirt dès que la température dépasse les 15°C en avril, elle vous dirait qu'il ne faut pas s'étonner des épidémies de grippe et autres maladies ! On se revoit dans 10 ans pour parler des écouteurs ; pensez à prendre votre sonotone...
Bon, le souci reste entier : les lobbies pharmaceutiques n'aimeraient pas. 

Un Président qui voudrait faire le bien de la population serait alors tiraillé entre couler le pays en l'endettant ou se mettre à dos la plus grosse industrie du monde (si ce n'est pas encore la plus grosse, ne vous inquiétez pas, mes assomptions seront valides un jour). Tricky...

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