dimanche 14 août 2011

Petit guide de contrôle des femmes à l’usage des hommes frustrés (1/2)


L’histoire nous montre que le mâle a petit à petit perdu le pouvoir viril qu’il pouvait exercer sur le célèbre "sexe faible".
Le passage à la monogamie souhaité par la Chrétienté aura eu raison du lion dormant tout l’après-midi en attendant que sa troupe revienne du supermarché avec un zèbre ou un orignal.
La découverte du plaisir féminin a créé des exigences inédites, ne laissant qu’aux plus talentueux et/ou éduqués de la gent masculine le droit de satisfaire les dames de la cour – voyez le Vicomte de Valmont.
Avec la deuxième guerre mondiale, la femme a été obligée à travailler comme un homme. Le mâle en rentrant s’est donc retrouvé avec un collègue pourvu d’un vagin ; un vagin, ça déconcentre. Par conséquent, le travail du mâle est devenu moins précis et moins productif, confortant la femme dans son sentiment de supériorité intellectuelle, et bientôt physique (oui, travailler, ça muscle aussi les bras).
Puis dans les années soixante, avec la création des contraceptifs, le maître de la reproduction s’est retrouvé incapable de se reproduire à son bon vouloir ; heureusement que le sexe a compensé, rejoint bientôt par pléthore de maladies vénériennes.
Enfin, dans les années quatre-vingt, Michel Sardou a pointé du doigt des seins encore jamais vus à de telles hauteurs : les gratte-ciels de New-York ou à La Défense. Voici que la Femme a mis les pieds dans le cadre !


Comme les hommes, les femmes sont sensibles à la cuisine, mais vous ne pouvez pas contrôler une femme uniquement via son estomac – de manière légale, on s’entend. La femme ajoutera souvent son grain de sel, reprenant ainsi le contrôle sur votre tentative, d’un goût parfois douteux.

Le vrai pouvoir passe par le rêve.
Pas besoin de vacances dans les îles, de diamant ou de dizaines de roses ; il vous faut juste une bonne paire de chaussures avec des semelles en cuir.

S’il y a bien un secteur ou l’homme garde le contrôle et où la femme se laisse contrôler, c’est la danse de salon.
Que ce soit une valse, un tango ou un rock, ici, l’homme est roi, l’homme décide, la femme suit, de sa propre volonté et avec plaisir !

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