jeudi 24 février 2011

Aujourd’hui, j’ai appelé le réparateur. Aujourd’hui, j’ai rencontré Môsieur Calgon. Bon, sa voix Belge n’est pas comme la VF, mais il est juste super sympa !
Il m’a expliqué que la résistance "avec Calgon" est en fait neuve : la brillance part à la chauffe, dès la première utilisation. Et l’autre est maquillée avec une sorte de plâtre par un professionnel.
Bon, ils ont le mérite d’avoir pris un vrai technicien... dont ils ont maquillé les mains, car il est aussi pompier et avait dégagé des pneus la veille, se retrouvant tout noir de goudrons !

Au final, il m’a recommandé de :
- faire fonctionner mon lave-vaisselle à chaud une fois par mois
- le faire tourner au moins une fois par semaine, même à vide
- utiliser n’importe quel anticalcaire, car ce sont les mêmes au final (il y a 3 fabricants en Belgique)
- préférer l’électroménager allemand  à l’italien : c’est carré et ça tourne, alors que c’est beau et fragile

Allez, une vidéo pour la route !

PS : J’ai un lave-vaisselle, et il marche !!!

mercredi 23 février 2011

Esprit réduit...

Nous aimons tous manger. Nous aimons presque tous bien manger. Et nous aimons surtout payer le moins possible pour manger le mieux possible.

Les Brasseries Flo sont assez connues, même si on ne se doute pas toujours que le Groupe a la main mise sur, notamment, les parisiens Boeuf sur le toit et Bofinger.

Quel bonheur d’y aller, de se faire un demi-homard sur lit de choucroute, et de sortir une carte "Black" pour payer... Payer ? Non. Réduire l’addition en échange de quelques données sur ma consommation de poisson frais.

J’avais parlé du Terminus Nord où nous avions avec ma toute première réduction (20%) eu la gratuité des desserts et boissons, pour une table de 10.
Régulièrement, j’ai droit à une dégustation de vin, à du champagne gratuit... et 30% sur les plateaux de fruits de mer à emporter !

[imaginez Bibi dans le métro entre Gare du Nord et Nation, PC en bandoulière et 50cm de diamètre iodé sur les bras ; 4 ou 5kg, d’après mes bras]

En remplissant un petit formulaire, vous pouvez obtenir la carte Esprit Brasserie, qui vous offre en général 10% sur votre addition dans l’un des 13 restaurants de France.
Une bonne option pour les fauchés qui veulent (s’)offrir de temps en temps un moment chic, dépoussiérer une robe de soirée, ou juste participer activement au régime Dukan.

On ne vous reprochera qu’une chose : aller toujours dans le même restaurant...

lundi 21 février 2011

Juste une mise au point...

A toutes celles et ceux qui ont pu se sentir choqué / vexé / blessé / humilié / émoustillé (ou tout autre adjectif rimant avec "pâte à modeler") par ce que j’ai pu dire / faire / penser / projeter / soulever (ou tout autre verbe de notre belle langue Française), je présente mes excuses.

Pourquoi ça ? Pourquoi maintenant ?

On ne peut pas changer le passé. On peut en revanche améliorer le présent et donc le futur. Je ne regrette pas mes actes (ça ne sert à rien), j’essaye de les assumer (oui, même la fois où j’ai mangé la glace de la patinoire...). Je pense que c’est le bon moment puisque j’ai pris conscience du fait que j’allais mourir... et d’ici là, je n’aurai peut-être plus votre email, où alors je serai déjà sur mon île privée, sans connexion satellite, avec une piña colada dans la main droite et un... enfin bref !

Je tenais à vous remercier, car grâce à vous j’ai pu vivre le meilleur comme le pire, et apprendre de mes erreurs. J’espère que vous aurez tous la chance d’en faire autant, pour enfin atteindre le Bonheur.

Vous vous sentez visé(é) ? C’est magnifique ! Vous n’avez aucun trouble de la mémoire ! (c'est déjà ça de gagné...)

Sur ce, je ne vous souhaite que le meilleur, que du bonheur, que de l’Amour (et du chocolat aussi... le chocolat, c’est important !).

Je terminerai sur une note de souvenir sonore.

Et puis si vous vous ennuyez, un petit test de personnalité.

PS : oui, le souvenir sonore est une véritable torture auditive. Je l’ai fait par pure méchanceté : mouhaHAHAHAHAhahaha ! hum... ;)

samedi 19 février 2011

...ou comment je vire végétarienne.

Il est grand, le visage rond, des yeux tout doux, les épaules larges, baraqué mais pas gras, et il vous parle de ses chicons comme Jamel Debouze dans Amélie Poulain.
Il a un accent Néerlandais pas trop moche, presque mignon, quand il ne parle pas il chantonne de la pop-rock Anglaise, il a ce petit sourire qui vous donne envie de lui faire un gros câlin, quitte à être ensevelie sous les choux de Bruxelles...
Je fantasme sur mon légumier. C’est con, mais c’est comme ça.
Le fait est qu’entre 20 et 35 ans, il est difficile de donner un âge à quelqu’un. Il pourrait en avoir 17 si ça se trouve ! (les gens qui travaillent la terre, en général, s’ils sont costauds c’est depuis le collège... c’est qu’il faut du muscle pour pousser une vache !)

Me voici donc avec ma livre d’endives, à parler cuisson des choux, avec un sourire béat, j’imagine, les bras chargés de poireaux, courges, pommes... et mémé qui me pousse pour pouvoir payer son orange.
C’est pertinemment le genre de relations dont l’existence dépend entièrement de votre capacité à aller au marché chaque semaine, à la même heure, pendant des mois, et si possible avec la même coiffure ou le même accessoire reconnaissable facilement au milieu de centaines de clientes qu’il voit passer chaque jour, ce qui veut dire qu’il est forcément débile ou de couleur flashy.

Le plus difficile dans l’histoire, c’est encore de compter les clients afin d’être servie par le fameux jeune homme, et pas l’autre moche, ou la petite qui pourrait être sa soeur, voire sa femme...

En d’autres termes, je suis condamnée à savourer des légumes pas forcément bio, en souriant au fait qu’il ne sera jamais qu’une petite lumière éclairant mes mornes lundis.

jeudi 17 février 2011

Bande de jeunes, bande de cons...

Suite aux différents articles parus sur Rue89 autour des jeunes chômeurs qui veulent cash un CDI statut cadre avec avantages en nature etc., j’ai repensé à cette histoire qui date d’il y a quelques années...

Une amie directrice d’un établissement qui emploie 5 personnes s’est fait méchamment engueuler par l’une des employées, elle aussi assez jeune.

A la base, embauchée moins de 2 ans auparavant, elle voulait une augmentation de salaire substantielle car, en tant que comptable, elle avait vu le salaire de la directrice et ne comprenait pas l’écart avec le sien, pour un travail qui lui semblait moindre...
Après une dure journée, elle a fini en criant dans le bureau qu’elle avait une maison à rembourser, deux enfants en bas-âge (dont un bébé très récent), et qu’on la payait une misère pour son travail alors que la directrice n’avait pas l’air d’en foutre une rame, et qu’elle avait été embauchée à peine quelques mois plus tôt.

Face à ce discours, la directrice en question a failli se mettre à rire, et a regardé son employée comme une maman regarde un ado qui fait sa crise. Elle lui a simplement expliqué que :
- elle avait 15 ans d’expérience ;
- un Bac +4 dans la spécialité ;
- des gens à manager ;
- la responsabilité des résultats sur les épaules et un conseil d’administration à qui elle rendait les comptes.
Tandis que la jeune femme avait :
- un B.E.P. ;
- 6 mois d’expérience ;
- un temps partiel et revenait d’un congé de maternité de 4 mois.
L’employée a démissionné le lendemain.


La directrice n’est pas arrivée là par hasard. Ses études, elle les a faites en cours du soir. Son diplôme, elle l’a eu en VAE  10 ans après son B.T.S.
Son expérience, dans des entreprises diverses, jamais à ce niveau de poste avant, mais avec les pires complications imaginables (cas d’école à la Médecine du Travail). 


On connaît rarement le passé de sa hiérarchie. On se fait souvent une fausse idée du patronat. Tout comme les jeunes sont classés en "précaires vache-à-laits", les patrons sont des "exploiteurs sans scrupules".
Apprenons à faire la part des choses, à travailler ensemble, à APPRENDRE des nos expériences respectives, au lieu de se tenir tête, surtout pour le pire.

mercredi 16 février 2011

C’est fou ce que le temps passe vite, et les idées avec...

Ce blog devait à la base comporter des patrons et des instructions pour du bricolage mignon, en plus d’informations liées à mon expérience de l’autoentreprise et des recettes expérimentales. Bon, j’avais prévu une marge pour tous les autres trucs idiots que j’aurais envie d’ajouter... mais ça manque sérieusement de couture !

La faute à... ? A personne : on dit "la faute DE" ! ...mon déménagement, la machine boxée, la poussière des travaux, le travail tout court... Il y a tant de chose à faire/voir/manger que le temps manque.
Hier encore, je pensais avancer dans les travaux. Il semble qu’en fait je sois réquisitionnée pour monter une vitrine sur les Champs (rien de subtil, c’est pour le Salon de l’Agriculture).
Et il y a aussi le défi "Pêches au thon" lancé à un certain blogueur, geek de son état... c’est que c’est envahissant, les activités extra-morphéales !

Tout ça pour constater qu’on change, qu’on grandit (voire on s’affaisse), et qu’il y a des tas de choses qu’on voudrait faire sans y arriver... mais qu’avec mon super nouveau jouet je vais pouvoir faire de la cuisine par déshydratation !

Que l’année vous soit douce, cher lecteur ;)

lundi 14 février 2011

De toute façon...

Récemment, après avoir rompu avec sa copine (plutôt récente), un ami m’a dit : "De toute façon c’est toujours pareil…", ce à quoi j’ai répondu : "à part le goût de la vache qui rit, rien n’est toujours pareil…", et il a rétorqué : "De toute façon, à chaque fois tu réponds des trucs débiles" ; A affirmation stupide, réponse débile… mais vraie !

Il existe une science appelée Programmation Neurolinguistique (PNL pour les intimes). En gros, ce que tu dis, ce que tu crois, arrive. Exemple : un mec dit tous les matins "A chaque fois, je loupe le bus et je dois aller en cours à pied" ; sa petite sœur "J’arrive toujours à avoir le bus, même si je pars en retard" ; c’est une constante, mais le jour ou le mec décide qu’il veut avoir le bus, il l’aura.

J’ai fait le test à plusieurs reprises : places de stationnement juste devant le magasin, trouver de l’argent, rencontrer certaines personnes… mais il ne faut pas aller trop loin non plus pour tester.

J’ai essayé le fameux "Si Machin est la personne qui m’est destinée, alors je l’aurai, sinon je trouverai son équivalent" sur mon meilleur ami, sûre que ça ne marcherai pas. Deux semaines après, je le faisais pleurer. Et pendant les 5 années suivantes je ne suis tombée que sur des mecs qui lui ressemblaient en beaucoup de points.
En résumé, ce "truc" n’est à utiliser que si vous voulez être sûr(e) que c’est le bon ou la bonne.

vendredi 11 février 2011

Hommage Ô Blog

Depuis le temps que j'avais envie de le faire... Là, j'ai un prétexte en string !
Hommage à TheBestPlace.com.


Il est là. Sur mon lit. Les yeux écarquillés. Comme s’il n’avait jamais vu une belle femme se déshabiller. Tiens, c’est amusant : il a la tête pile-poile à la hauteur de mon entrejambe. Bon, au moins, il a un boxer... qui n’a rien à faire là. Il a de la chance que ce soit un Calvin : les sous-marques s’enlèvent mieux avec des ciseaux qu’avec les doigts.
Bon, ça va, pas trop mauvaise pêche ce soir. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je lui tends le petit formulaire habituel, avec mon plus bel air sérieux :

- Par contre je vais avoir besoin que tu signes ça.

Il semble surpris, amusé et pendant un instant on dirait qu’il pense en acronymes geek. Quelle génération tout de même...

- Pardon ?

- Si tu veux qu’on continue, une petite signature en bas et on est reparti.

Je lui tends un beau stylo.

- C’est quoi ?

- Un NDA. Un accord de confidentialité ?

Il ne sait pas trop comment le prendre. C’est fou ce qu’ils sont mignons à ce moment-là. Alors, Winner ou Loser ?

- C’est un préliminaire BDSM douteux ton truc ?

- Non, une assurance. Contre les ragots. J’en ai marre qu’on étale ma vie sexuelle, que ceux qui m’en veulent se lâchent en putassant dans leur coin ou que je me retrouve à me faire engueuler par la nouvelle ou l’officielle. En plus avec les bloggueurs, twittos et compagnie c’est encore pire.

Ses yeux font des aller-retours sur le papier. C’est le moment.
Une petite photo et... dommage pour le flash ; fallait pas relever les yeux.

- Ta bite au repos, en otage sur mon téléphone et déjà en cours d’upload vers un dossier secret sur mon FlickR.

- QUOI ?!

Non tu ne te relèveras pas. C’est fou ce que cinquante kilos de femme presque nue peuvent forcer un homme à rester assis, rien qu’en enserrant sa taille avec une paire de cuisses.

- Soit tu ne signe pas, j’efface les photos et tu rentres chez toi la queue entre les jambes. Soit tu signes, les photos sont à l’abri tant que tu te tiens à carreaux et tu rentres en moi la queue entre mes jambes.

- …

- A toi de voir.

On dirait qu’il joue sa vie. J’ai toujours un élan de sympathie pour eux à ce moment là. C’est là que je gagne.

- Est-ce que je peux prendre appui sur tes seins pour signer ?

- Je t’en prie.

Alors que la pointe du stylo imprimait une signature sur ma peau, je repensais aux petits caractères tout en bas. Ceux que personne ne lit jamais. Ceux qui font de moi l’une des meilleures récolteuses d’âmes innocentes sur ce Continent...

mercredi 9 février 2011

Blague Normande

A l'époque où je cherchais encore un travail, j'ai postulé en Normandie, au pays des flacons de parfum... Et les Normands ont de sacrés noms de ville !
Voici l'histoire drôle qui en est née : 

Un couple de retraités du Doubs est en vacances au Tréport, en Normandie.
Madame revient s'asseoir à côté du transat de Monsieur : "Oh j'ai rencontré un couple charmant à la buvette..."
Le mari demande : "Ils sont du coin ? Ils viennent d'où ?"
"Ils sont d'Eu..."
"Non mais ça j'avais compris, je te demande d'où qu'ils sont..."
"Mais je viens de te le dire : ils sont d'Eu..."
"Deux oui, mais du... d'où qu'ils viennent ?"
"Comment ça du Doubs ? Ils sont d'Eu, en Normandie..."
"Mais nous aussi on est deux en Normandie, et on est du Doubs..."
Sur ce, arrive l'autre couple : "Nous allons déjeuner, ça vous dit de venir avec nous ? Il y a un très bon restaurant à Eu-la-Mouillette..."
Le mari répond : "Ils les font au plat aussi ?"

lundi 7 février 2011

Notre Père, revu et corrigé

Je n'aime pas le Notre Père version Catho. Trop strict. Trop froid.
Jean-Yves Leloup a pris un livre entier pour le décortiquer dans ses diverses traductions, et en donner une version où nous retrouvons notre âme d'Enfant.
Le premier mot signifie d'ailleurs "Papa".

Abba,
Notre père dans les cieux
Que ton nom soit sanctifié
Que ton règne vienne
Que ta Volonté soit faite
Sur la terre comme au ciel
Donne-nous aujourd'hui
La nourriture nécessaire à notre Vie
Libère-nous de nos dettes
Comme nous-mêmes libérons nos débiteurs
Ne nous laisse pas emporter
Par l'épreuve
Délivre-nous du pervers.

dimanche 6 février 2011

Bonjour Madame !

Et notre Lada (qui se conduit si bien) sur LE site qui vous fait dire "Bonjour Madame".

jeudi 3 février 2011

No boobies available...

...ou comment passer outre la censure sur Facebook !